mardi 28 décembre 2010
Le fr. Didier Boillat élu Provincial de Suisse pour un deuxième mandat
samedi 27 novembre 2010
Vote sur les renvois des criminels étrangers en Suisse : "la dignité humaine n'est pas garantie" selon Mgr Farine
samedi 6 novembre 2010
Un appel des évêques d'Irak aux catholiques d'Occident
lundi 9 août 2010
lundi 26 juillet 2010
Entre deux mondes !
mardi 8 juin 2010
Pèlerin avec les Dominicains...
Venez vivre un temps spirituel, riche de rencontres et d'approfondissement de la foi en participant, avec les frères Dominicains au Pèlerinage du Rosaire à Lourdes, du 4 au 10 octobre 2010, au départ de Suisse...
Pour plus de précisions, contactez le frère Michel Fontaine o.p. ou téléchargez la brochure "Suisse" sur le pèlerinage du Rosaire 2010. (tel : 022 707 40 57)
Retrouvez aussi le pèlerinage du Rosaire sur Facebook!!!
mardi 1 juin 2010
Journée mondiale de l'environnement
Dans le cadre de cet événement, le Parc de l'Ariana, qui héberge le Palais des Nations, sera ouvert au public. De nombreuses activités et animations seront aussi organisées sur et autour de la Place des Nations et du bâtiment de l'OMPI.
mardi 25 mai 2010
Vous serez comme des dieux...
samedi 22 mai 2010
Discours théologique : comme le souffle d'une brise légère?
dimanche 2 mai 2010
Massacres dans l'indifférence générale
mercredi 28 avril 2010
Les Laïcs de l'Ordre fêtent Sainte Catherine de Sienne
samedi 17 avril 2010
Pèlerins Suisses à Lourdes avec le Rosaire 2010 !
dimanche 11 avril 2010
Fraternité dominicaine
mardi 6 avril 2010
Fribourg : Journées mondiales de la Jeunesse
dimanche 4 avril 2010
Pâques en Haïti : l'espérance et la résurrection
La probabilité d'avoir un tremblement de terre d'une magnitude supérieure ou égale à 6 est de 7% dans les 30 prochains jours, 15% dans les 90 prochains jours et 25% sur une période d'un an.
La probabilité d'avoir un tremblement de terre d'une magnitude supérieure ou égale à 7 est de 1% dans les 30 prochains jours, 2% dans les 90 prochains jours et 3% sur une période d'un an.
mercredi 24 mars 2010
Pas de plus grand amour que de donner sa vie
samedi 20 mars 2010
Les Evangiles au crible des apocryphes
Prophète et Prophétie
jeudi 18 mars 2010
A la découverte de la fondation Bodmer
lundi 15 mars 2010
Une nouvelle synagogue à deux pas de notre couvent : Bienvenue à nos nouveaux voisins !
jeudi 4 février 2010
Retraite dans la ville : vivre le carême via Internet !
lundi 1 février 2010
Mariages interreligieux en 2010 : état des lieux
Interreligieux ou exogamiques ? Les rabbins préfèrent cette dernière expression. Ce qui expliquerait que la majorité d’entre eux refuse d’entrer en matière lorsqu’on les sollicite de bénir ce genre d’unions. Les libéraux sont plus accueillants, à condition que les enfants soient circoncis et éduqués dans le judaïsme. Une position assez semblable à celle que les Catholiques exigeaient des « couples mixtes » il y a cinquante ans !
L’islam orthodoxe continue d’interdire le mariage d’une Musulmane avec un Chrétien, à moins que ce dernier ne se convertisse à la religion du Prophète de l'Islam. Par contre, il supporte l’union d’un Musulman avec une Chrétienne, surtout si celle-ci se convertit à l’islam. Bien entendu, les enfants épouseront la religion du père.
Quant aux Bouddhistes, ils paraissent accepter tous les cas de figure, tout en souhaitant que l’amour prenne un jour la couleurs de la compassion.
Amour et religions ne font donc pas forcément bon ménage. C’est ce qu’ont appris une trentaine de personnes qui ont participé en janvier 2010 à quatre soirées organisées par la Délégation catholique à la Plateforme interreligieuse de Genève, sous la responsabilité du frère Guy Musy op.
Une question demeure posée à toutes ces traditions religieuses : comment faire le tri entre les servitudes de la coutume et les exigences de la foi ?
mardi 26 janvier 2010
Reconstruire Haïti...
Pour une aide intelligente en Haïti
Allier l'émotion à la fois si forte et inouïe et la réflexion toujours nécessaire pour rester digne et lucide en Haïti. Venir aux côtés de tous ces amis qui se battent dans l'urgence, qui doivent trouver le message et l'attitude juste dans une situation précaire. C'est aussi cela que la presse en Europe et ailleurs peut permettre en appui d'Haïti! Et tout d'abord ne pas juger ni plaquer nos solutions qui sont trop chères et trop techniques pour être efficaces dans la durée.
Peut-on parler alors « d'aide intelligente »? L'urgence repousse à plus tard la réflexion pourtant ce pays connaît de l'intérieur la résistance au malheur même si les formes de cette résistance déroutent l'étranger. Au lieu d'agir au coup par coup, il vaut mieux inverser la perspective et voir les objectifs à long terme comme construire un État de droit et mettre sur pied de vrais services publics: éducation, santé ou encore le plus possible d'auto suffisance alimentaire dans un pays de la faim.
La liste des priorités à long terme est certes longue mais on peut s'entendre sur les grandes lignes . Et si la démocratie est aussi l'apprentissage têtu de la démocratie en mouvement sur le terrain, la manière même de réaliser ces objectifs de façon démocratique, en particulier avec l'exercice de la liberté d'expression, permettra cette mise en place d'un État de droit vécu comme un Bien Commun par tout le peuple. Haïti n'a pas de ressources du sous sol et ne pourra pas de si tôt construire une tour de 800 mètres de haut! Mais l'éradication de la misère est possible dans ce qui a été appelé une pauvreté digne et conviviale. La forte culture de ce peuple ainsi que l'ouverture au monde d'une diaspora intelligente et active sont des garanties internationales pour espérer reconstruire dans cette visée.
De ces grands objectifs à long terme, découlent les objectifs à moyen terme et précisent les bons chemins de l'aide dès aujourd'hui.
De plus, il convient de bien cibler les phases de l'aide à l'heure où l'on arrête sur place les recherches dans les décombres.
Dans cet immédiat confus, nous pouvons dégager quelques points essentiels à travailler avec les forces vives d'Haïti mais aussi en réfléchissant à nos schémas d'aide et de développement.
1. Favoriser au maximum la solidarité nationale même quantitativement faible, elle est essentielle psychologiquement, affective-ment et symboliquement pour regarder l'avenir avec dignité. Le chaos de Port au Prince est le signe d'un exode rural accéléré et incontrôlé, une sorte de rupture brutale de l'équilibre capitale/province et ville/campagne. Dans l'urgence dangereuse, ne faut-il pas favoriser le retour en province de tous ceux qui ont tout à perdre à Port au Prince sans hygiène ni eau ni secours? Ceci permettrait de concentrer les secours sur les blessés et dégagerait la ville en ruine d'une pression populaire d'autant plus forte que la révolte répond à l'impuissance. La seule activité va être la survie, c'est à dire l'attente et la dépendance de l'aide alimentaire pour plusieurs mois!
Pas d'école ni d'activités économiques organisées! Pourquoi ne pas répartir l'aide alimentaire dans les villes de province qui seraient encouragées à accueillir les rescapés?
2. L'aide alimentaire a déjà détruit une bonne partie de la capacité de production agricole locale, pourquoi ne pas aider les paysans à produire et transporter dans de bonnes conditions la nourriture au plus près de la capitale en créant des marchés dans les villes moyennes? Ne peut-on pas combiner des produits d'alimentation d'urgence et des produits locaux? Haïti peut par exemple produire du riz, des haricots et du maïs et des fruits qui sauvent les enfants! Idem pour le relogement, ne faut-il pas déconcentrer les lieux de relogement provisoire pour faciliter les relations sociales?
3. Favoriser également au maximum les relations Haïti Saint Domingue et, par extension, avec la Caricom et l'ensemble des Antilles. On voit bien que la proximité des Antilles-Guyanes ou encore de la Floride crée une situation favorable et de relations mutuelles avec Haïti. Les relations à sens unique ne durent pas, les autres perdurent!
Par ailleurs, ne faut-il pas d'ores et déjà prendre pour objectifs la construction d'un réseau de santé publique et d'éducation nationale? L'exode rural a cassé toutes sortes d'initiatives qui pourraient reprendre dans l'effort de reconstruction. Par exemple au lieu de concentrer l'école à la capitale ce qui pousse les familles de province à envoyer les enfants à Port au prince, pourquoi ne pas construire dès à présent un réseau de collèges et de lycées dans les villes de province?
La tâche est immense. Elle requiert le maximum d'intelligence et de souplesse pour laisser aux forces vives d'Haïti un rôle essentiel en alliance avec l'aide internationale. L'urgence c'est de desserrer les mâchoires du piège à mort qu'est devenu Port au Prince et de penser la reconstruction globale du pays. Et déjà éviter le piège d'une aide massive qui se concentrerait uniquement sur la capitale en détruisant la solidarité haïtienne si inventive et créerait une dépendance irrémédiable.
Fr. Gilles Danroc o.p.
Pour aider les frères dominicains en Haïti, adressez vous au prieur de Genève ou retrouvez le site des frères : http://dominicains.com
dimanche 3 janvier 2010
Ethique, Foi et Vie quotidienne...
Entrer dans une démarche éthique et chercher à discerner « ce qu’il faut faire, pour bien faire ? » à partir de situations vécues ou suggérées par l’actualité: tel est le but des cinq rencontres proposées par le fr. Michel Fontaine o.p.
L’itinéraire proposé traverse les cinq mystères de la foi (la Création – l’incarnation – la croix – la résurrection – la Pentecôte) en les confrontant aux réalités de la vie quotidienne.
Notre réflexion s’appuiera sur l’Ecriture, la recherche théologique, l’enseignement de l’Eglise et l’apport des Sciences humaines.
Grange Canal 27B (Tram 12, 16, 17)
jeudi soir de 20 heures à 21h 30
04 février - 25 février - 29 - avril - 27 mai - 24 juin 2010
Nombre de personnes limité à 25 et dans la mesure du possible s’engager à participer à l’ensemble du parcours.
Renseignements :
fr. Michel Fontaine, Dominicain
tel 022 707 40 57 ou mail : m.fontaine@worldcom.ch